À propos
De la nécessité d'une approche préventive
Préserver notre santé requiert une discipline quotidienne. C'est en effet chaque jour que nous devons nous astreindre aux efforts qui préviendront sa dégradation. Attendre d'être confronté à de sérieux problèmes avant de réagir, peut nous obliger à suivre des traitements médicamenteux aux effets secondaires parfois redoutables. L'exemple, trop fréquent, des habitudes alimentaires aberrantes qui produisent à long terme des effets désastreux sur le système cardiovasculaire et contraignent un praticien à recourir à des moyens thérapeutiques radicaux et difficilement tolérés, illustre les possibles conséquences d'une telle négligence.
Compte tenu de l'impérieuse nécessité de fournir à notre organisme les nutriments dont il a besoin pour fonctionner dans les meilleures conditions, sans l'encrasser ou l'empoisonner par la même occasion, il apparaît comme évident qu'une alimentation diététiquement cohérente, et si possible exempte de polluants, est essentielle à toute approche préventive.
Cela dit, une alimentation « saine et équilibrée » ne suffit pas toujours à nous mettre à l'abri des carences. Par exemple, les infections ou inflammations chroniques, ou encore les syndromes de malabsorption, requièrent une supplémentation appropriée. Sans oublier ces déficits très répandus, en magnésium ou en vitamine D, qui ne semblent liés à aucune pathologie et sont parfois réfractaires aux régimes alimentaires les plus rigoureux.
Le « naturel » à la rescousse
Les mérites de la « prophylaxie nutritionnelle » ayant été soulignés, il nous faut nous interroger sur l'opportunité de recourir à des substances thérapeutiques « naturelles » lorsqu'en dépit de tous nos efforts, notre état de santé commence à nous préoccuper. Afin de dissiper immédiatement tout possible malentendu, je précise que je considère cette approche et celle de la médecine allopathique comme complémentaires et non comme antagonistes. Et il s'avère qu'elles ont beaucoup plus de points communs qu'on ne le croit. En effet, les substances actives de nombre de spécialités pharmaceutiques sont extraites des plantes. Néanmoins, la phytothérapie se distingue de la pharmacopée tradtionnelle en ce que les divers principes actifs d'une même plante y demeurent associés, leur éventuelle synergie étant ainsi préservée. En outre, les préparations à base de plantes issues de l'agriculture biologique nous garantissent que nos remèdes seront exempts de polluants ou d'additifs chimiques. C'est un point absolument crucial.
Mais la conjugaison de multiples substances actives ne présente pas que des avantages : l'une d'elles peut être mal tolérée ou le devenir si les doses administrées sont augmentées afin d'accroître l'apport en un principe actif donné. Idéalement, il faudrait que l'on puisse disposer de spécialités réunissant un nombre très limité de composants actifs clairement documentés, dont la combinaison soit justifiée et la pureté garantie. Une sorte d'allopathie naturelle en somme ! Je suis heureuse d'être en mesure de proposer, grâce aux laboratoires Anastore, des produits qui satisfont à ces critères.
J'insiste sur ce point, aussi évident que capital, dans un préambule aux trois sections de notre catalogue en ligne : toute substance active est susceptible d'avoir des effets secondaires. Cette mise en garde me paraît d'autant plus indispensable que l'on clame fréquemment sur le Web la prétendue innocuité de toutes sortes de produits curatifs ou de supplémentation en arguant de leur origine naturelle. Or, y compris dans le cadre de leurs indications thérapeutiques, les substances naturelles peuvent s'avérer dangereuses en cas de surdosage. Faut-il rappeler que, par exemple, un apport quotidien et massif en vitamine A induirait à terme une cirrhose, ou encore qu'une supplémentation débridée en fer déterminerait une hémochromatose ; en cuivre, la maladie de Wilson ; en vitamine D, une hypecalcémie, etc ? En d'autres termes, naturel n'est pas, tant s'en faut, synonyme d'inoffensif.
Les soins énergétiques
L'intérêt de toute méthode thérapeutique, ou présentée comme telle, se mesure à l'aune de ses effets bénéfiques. A cet égard, le succès croissant que connaissent les soins énergétiques (tels que le Reiki ou les soins reconnectifs) démontre qu'ils procurent à une multitude d'individus à travers le monde, un bien-être qu'ils n'ont pu trouver en recourant à des approches conventionnelles. Mais quels que soient leurs mérites, je me dois de préciser que je n'y vois qu'un complément de la médecine traditionnelle qui ne peut se substituer à un traitement médical ou en retarder la mise en œuvre.
Les progrès continus de la science l'ont illustré de façon éloquente : nombre de phénomènes qui, à une époque, semblaient particulièrement mystérieux, ont trouvé par la suite une explication parfaitement rationnelle. Alors même que nous n'en sommes encore qu'au stade des conjectures quant au mode d'action des soins énergétiques, il semble donc légitime d'espérer qu'il livrera un jour ses secrets.
D'ici là, nous pouvons considérer comme plausible que lors de l'imposition des mains, le praticien capte puis canalise une « énergie » qu'il transmet à son patient, faisant à la fois office d' « interface » et d' « amplificateur ».
Une longue expérience de la pratique de ces soins m'a apporté la preuve que leurs bénéfices, tant sur le plan physique qu'émotionnel, sont souvent considérables et il est extrêmement gratifiant pour un thérapeute de constater qu'il a pu favoriser une amélioration rapide et fréquemment décisive de l'état de santé de ses patients.